Social Embodiments: Prenatal Risk in Postsocialist Germany

Auteurs-es

  • Susan L. Erikson Simon Fraser University

Mots-clés :

incarnation sociale, risque prénatal, postsocialiste, Allemagne

Résumé

Les anthropologues ont lié les corps à des histoires,
des événements et des structures sociales, au travers de la
présence de maladies ou de pathologies physiques. Eincarnation
sociale du risque, évidente dans un hôpital de l'ancienne Al
lemagne de l'Est au tournant du millénaire était différente au
plan conceptuel dans la manière dont les femmes décrivaient des
corps marqués par l'absence - de grossesse, d'emploi et de senti
ments de sécurité. Dans cet article, autour des considérations
théoriques relatives à l'incarnation sociale, nous-apportons des
observations sur comment les corps en gestation incarnent des
notions de risque en compétition les unes avec les autres. Cet
article montre comment des notions de risque prénatal peuvent
illustrer des manières par lesquelles l'incarnation sociale peut
se constituer comme une présence, mais peut aussi se mani
fester comme absence, hésitation et ambivalence à l'égard de
la reproduction.

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Publié-e

2022-03-16

Comment citer

Erikson, S. L. . (2022). Social Embodiments: Prenatal Risk in Postsocialist Germany. Anthropologica, 54(1), 83–94. Consulté à l’adresse https://cas-sca.journals.uvic.ca/index.php/anthropologica/article/view/934