Formal Culture, Practical Sense and the Structures of Fear in Spain

Auteurs-es

  • Gavin Smith University of Toronto

Mots-clés :

peur, mémoire sociale, transition en Espagne, répression, Raymond Williams, structure des sensibilités

Résumé

Dans cet article, j'essaie de comprendre comment la mémoire sociale et la peur se conjuguent à divers niveaux en Espagne entre la période de transition suivant la mort de Franco en 1975 et l'adoption d'une Loi sur la Mémoire historique en 2007. Je soutiens que la manière dont la culture formelle dans la sphère publique interagit avec le sens pratique de la vie quotidienne produit une sorte de régulation sociale appropriée a la démocratique liberté. J'emploie deux aspects de l'utilisation que fait Raymond Williams de la notion de « structure des sensibilités » pour élucider comment cela se produit. On peut comprendre la culture formelle comme le produit d'un programme délibère qui cherche à produire « une qualité [cohérente] de l'expérience sociale [...] qui fournit une prise sur "Fair du temps" ». Par contraste, un caractère particulier du sens pratique, à savoir « qu'il n'a pas besoin d'attendre une définition, une classification [...] avant d'exercer des pressions palpables [...] sur l'expérience et l'action » ouvre la possibilité d'exercer un rôle régulateur de la souveraineté démocratique en maintenant fragmentés les souvenirs « dangereux » des gens ordinaires, sur le point d'atteindre une définition sociale.

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Publié-e

2022-06-30

Comment citer

Smith, G. (2022). Formal Culture, Practical Sense and the Structures of Fear in Spain. Anthropologica, 51(2), 279–288. Consulté à l’adresse https://cas-sca.journals.uvic.ca/index.php/anthropologica/article/view/2562