Deviance, Labelling Theory and the Concept of Scale

Résumé

Pendant que les sociologues de convictions théoriques diverses semblent avoir conceptualisé des théories de la déviance négligeant les données empiriques et transculturelles, les anthropologues semblent s'être concentrés sur les normes sociales et, pour laplupart, ont ignoré le sujet. Si la sociologie met l'accent sur des complexes des sociétés, les anthropologues, pour leur part, semblent centrés leurs efforts sur le concept d'une échelle de société et son rapport à la perception, la conceptualisation, la création et le traitement de la déviance . La theorie contemporaine — et a la mode — d'etiquettage est verifiee vis-a-vis de ces principes. Ces concepts de base, tels que la « création » de la déviance par cause d'étiquette et la déviance secondaire ont été bâtis en n'utilisant que des données provenant de complexes de sociétés. Dans des sociétés à petite échelle, ou il existe une interdépendance et des rapports en corrélation sur hésiter à étiqueter comme déviants les individus mais, plutôt, sur considérer les actes comme déviants. Il est rare que des individus acceptent et assument le rôle de déviant après avoir ete l'étiquette de cette maniere. Généralement, la déviance est «souple» et non pas «dure» car elle ne crie au cune menace contre l'ordre social. Dans de rares cas de déviance dite «dure», le processus d'étiquette devient réalité. Souvent, dans des societes complexes, les petits groupuscles (tel que les pecheurs des iles) demontrent des comportements d'interdependance et des attitudes vis-a-vis de la deviance qui ressemblent a ceux presentes dans des tribus pratiquant la chasse et la ceuillette ainsi que dans des villages de petits cultivateurs. Cette étude est appuyée par plusieurs il lustrations ethnographiques, y compris les observations de l'auteur lors de ses recherches au Kelantan.