Temporal Constructs and "Administrative Determinism": A Case Study from the Canadian Arctic

Auteurs-es

  • Joel Martin Halpern University of Massachusetts, Amherst
  • Laird Christie Wilfrid Laurier University

Résumé

Ce discours considère le règlement du temps comme un aspect de la gestion gouvernementale et institutionnelle canadienne de la vie des Inuits. En utilisant l'information provenant de la région est du Keewatin, on contraste « le temps de la terre » (littéralement, le temps sur terre, mais aussi l'orientation temporelle traditionnelle des Inuits) avec le temps des villes, régie par chronomètre . Les conclusions sont de doubles envergures : la gestion du temps constitue une partie du schéma élargi administratif pour les Inuits (et, pour tous les peuples autochtones). Cette structuration de la vie des Inuits au tour des écoles, des emplois et des agences gouvernementales sépare les Inuits de la terre et contribue à la rupture des liens avec leur proprepasse. L'article propose la conclusion théorique que, pour la sociologie et l'anthropologie, l'étude du temps et des structures temporelles offre un domaine important et potentiellement riche de recherches. La signification de l'imposition d'ordres temporels externes à des peuples indigènes doit — en particulier — encore être examinée au complet.

Téléchargements

Les données relatives au téléchargement ne sont pas encore disponibles.

Téléchargements

Publié-e

2022-05-27

Comment citer

Halpern, J. M., & Christie, L. (2022). Temporal Constructs and "Administrative Determinism": A Case Study from the Canadian Arctic. Anthropologica, 32(2), 147–165. Consulté à l’adresse https://cas-sca.journals.uvic.ca/index.php/anthropologica/article/view/1808

Numéro

Rubrique

Articles